
PÉRIPÉTIES SUR LES MASQUES
« Les syndicats sont les premiers à avoir alerté l’entreprise. Celle-ci a commandé des masques qui ont été mis en libre-service pour les salariés… puis retirés du fait que certains en abusaient. Le vrai signal d’alarme est survenu quand Emmanuel Macron a lancé son appel à la télévision. Ouest France a pris des mesures de chômage partiel qui ont été acceptées par les partenaires sociaux. Du côté des journalistes (rédacteurs, secrétaires de rédaction, maquettistes…), des formules de télétravail ont été mises en place et validées par le CSE du 30 mars, mais bon nombre d’entre eux ont continué à aller sur le terrain et à venir à la rédaction. »